peu de thé, mais…

Après de nombreuses péripéties et un instructeur insulaire bloqué à domicile, nous avons pu tout de même servir un menu digne de ce nom à nos vingt convives…

Les ateliers de James Marwood ont été remplacé par un apprentissage du bataireacht, géré par nos Capitaines en place. Belles découvertes et un enrichissement martial pour nos stagiaires.

Romain, à sa demande, a pu nous faire profiter de ses expériences dans le domaine de la savate et nous présenter les différences fondamentales de cet art avec la boxe française.

 

Karin Verelst nous a subjugué avec son approche de la lutte germanique (Ringen) et italienne (Abrazzare) en la schématisant très simplement avec une « histoire de triangles », prouvant que la force brute n’a rien à faire en cette pratique.

Afin d’illuster ces dires, nous avons pu appliquer ces techniques sur une forme de défense purement féminine, confrontant des gabarits très différents et démontrant que l’on peut renverser une personne de trois fois son propre poids.

Le public en redemande et nous le referons  !

Les sources